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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 02:31


si je suis idiote, qu'est-ce que tu es, toi? tu m'as épousée, que je sache?



source:
The New Yorker
l'Intégrale Des Dessins
Robert Mankoff. Jean-Louis Chiflet
Les Arènes
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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 01:32


       tu ne m'as jamais regardé comme ça!



source:   
The New Yorker
l'Intégrale Des Dessins
Robert Mankoff. Jean-Louis Chiflet
Les Arènes

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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 01:05


Depuis 1925 le New Yorker est le magazine culte des  américains.



Dès le premier numéro , les dessins d'humour ont été la marque de fabrique de ce journal.



Le New Yorker a publié 68 647 dessins de 400 dessinateurs...entre 1925 et 2004.







Cette intégrale est une entreprise éditoriale monumentale.
à lire avec modération!!!!!!
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24 avril 2007 2 24 /04 /avril /2007 21:21




La princesse qui croyait aux contes de fées

Marcia GRAD


          éditions Ambre
          254 pages





Elevée de façon très stricte par le roi et la reine qui se montrent des parents aussi sévères qu'affectueux, la douce princesse Victoria grandit en rêvant d'être un jour secourue par son Prince Charmant ; comme toutes les jeunes filles de ses contes de fées préférés.
Et quand le prince arrive effectivement, tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes jusqu'au jour où elle découvre que son prince est loin d'être aussi charmant que dans ses contes.
Sur les conseils d'une chouette délicieuse qui chante et joue du banjo, la princesse part sur le Chemin de la Vérité, un chemin parsemé d'embûches et de défis qui mène à la découverte de soi.


pour adultes
livre onirique et symbolique qui se lit facilement et délivre des messages de vie
style L'Alchimiste de Paulo Cuelho







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7 avril 2007 6 07 /04 /avril /2007 02:50




Constance de Salm

Vingt-Quatre Heures
d'une
femme sensible



roman

Phébus


A l’issue d’un concert, l'héroïne voit son amant s’éclipser en compagnie d’une magnifique veuve coquette et fortunée. Folle de douleur, elle regagne son domicile et lui écrit quarante-quatre lettres. En l’espace de vingt-quatre heures, elle va passer par les pires affres d’une jalousie et d’une passion dévorantes.
«Et peut-on avoir l’esprit libre avec une passion dans l’âme ? La terrible chose qu’une passion, cher ami ! Nous met-elle au-dessus ou au-dessous de nous-mêmes ? c’est ce que je ne puis dire. 


Femme des Lumières, Constance de Salm tint un brillant salon littéraire. Féministe, elle revendiqua le droit pour les femmes de se manifester socialement en toute liberté, notamment dans le domaine des Arts.
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18 mars 2007 7 18 /03 /mars /2007 12:18
La Fille Suavage de Jim Fergus

Sierra Madre, 1932 : capturée par un chasseur de pumas, une jeune Indienne, la niña bronca, est livrée en spectacle aux curieux dans une sordide geôle mexicaine. Elle appartient à l'une des dernières tribus apaches qui, ayant refusé de pactiser avec les Blancs, vivent à l'état « sauvage » dans les montagnes. Un jeune photographe, Ned Giles, et la niña bronca vont devenir les héros d'une épopée, mouvementée et meurtrière, doublée d'une merveilleuse histoire d'amour à l'issue improbable.

Pour cette fresque épique et romantique, Jim Fergus s'inspire de faits tragiques et dissimulés de l'histoire de l'Ouest : la niña bronca a réellement existé, de même que la Grande expédition apache, ligue de « gentlemen » fortunés qui, au nom de la défense de l'Amérique, sont allés aveuglément « massacrer de l'indien ». Hymne à la culture indienne, qu'une « civilisation » s'acharne à anéantir, mais aussi magnifique portrait de femme, La Fille sauvage est un roman captivant.

livre captivant+++, on y découvre la dure réalité de la barbarie des apaches envers l'oeil-blanc et vice-versa..heureusement , sur fond de rencontres et valeurs humaines..
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23 février 2007 5 23 /02 /février /2007 00:26
"C'était précisément l'inquiétude de ne pas être capable de peindre qui s'interposait et rendait impossible le fait même de s'y mettre"..........

"Elle lui parla de contrôle de la couleur et d'évolution technique, de confiance et de la nécessité de faire du travail une habitude...." Ma grande peur, dit-il, c'est que je m'y prend trop tard. -Quoi, pour la peinture? William, si vous commencez à raisonner comme ça, vous êtes perdu. Concentrez-vous sur ce que vous faites maintenant et oubliez le passé. Dans tous les cas, l'art a ses propres lois en ce qui concerne le temps. Ce n'est pas comme pour d'autres choses. Les années qui vous restent sont peut-être les seules dont vous ayez besoin."...... "Ce sont les meilleures huiles qu'on trouve sur le marché. Tu ne dois jamais faire de compromis sur la qualité des matériaux mais, au contraire, choisir ce que tu peux te payer de mieux. Si tu penses que ton travail ne le mérite pas, tu ne devrais pas peindre du tout. La couleur et la toile bon marché, c'est une fausse économie dans tous les cas."
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17 février 2007 6 17 /02 /février /2007 15:08
lecture en cours, j'adoôore:     AUTHENTICITÉ de Deirdre Madden
Jeune artiste, Julia travaille dans sa petite galerie . Elle adore son chat et aime Roderic. Roderic a vingt ans de plus que Julia. Enfant, ce garçon montrait des talents étonnants pour la peinture . Mais il a aussi un passé : une ex-femme italienne, trois filles qu'il ne voit plus, un passé d'alcoolique et un frère vivant à Dublin. Mais un jour, Julia va venir en aide à William qui a, lui aussi, rater sa vocation d'artiste et qui caresse l'idée du suicide. Cette rencontre va bouleverser leur vie.
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